Kyra et sa portée! C'est la 2e à partir de la gauche
Tout avait commencé quand ma chère maman avait eu la brillante idée de devenir une famille d'accueil pour les chiots Mira. Impatients que nous étions, nous attendions le téléphone de la fondation qui viendrait confirmer notre état de famille d'accueil. Ma maman, très attachée à la race des Boubous, espérait que le chiot qui nous serait confié pour un an serait de la race des Bouviers Bernois. De mon côté, je préfèrais avoir un Labrador blond, mais de toute façon, ce n'était pas nous qui choisissions.
Après un mois sans nouvelle, Mira nous appelle en nous disant qu'ils avaient eu tellement de demandes de famille qu'une attente de deux mois était prévue avant qu'on nous confie un chiot. En y repensant, nous avons songé à la séparation, après un an de cohabitaion, qui devait être très difficile. Ma maman, elle, voulait vraiment avoir un boubou. Nous avons donc fait des recherches d'éleveurs dans la région. Après quelques journées sur le net, nous avions enfin trouvé la perle rare : Les Bouviers de la Gabelle, dans la région de Trois-Rivières, à 1 h 30 de notre maison. Il a bien sûr fallu convaincre mon cher papa qu'avoir un chien était une bonne idée, malgré les allergies qui allaient de tout façon, espérons-le, s'estomper avec le temps.
Après un « oui » de sa part, nous avons appelé Jocelyn, l'éleveur. Il avait justement une portée née le 1er août avec trois mâles et deux femelles. Pour son sexe, nous savions déjà que nous voulions une femelle; c'est moins lourd une fois adulte (70-80 livres comparées à 120 pour un mâle!). Elle avait alors cinq semaines. Une semaine plus tard, nous allions la choisir.
Après un mois sans nouvelle, Mira nous appelle en nous disant qu'ils avaient eu tellement de demandes de famille qu'une attente de deux mois était prévue avant qu'on nous confie un chiot. En y repensant, nous avons songé à la séparation, après un an de cohabitaion, qui devait être très difficile. Ma maman, elle, voulait vraiment avoir un boubou. Nous avons donc fait des recherches d'éleveurs dans la région. Après quelques journées sur le net, nous avions enfin trouvé la perle rare : Les Bouviers de la Gabelle, dans la région de Trois-Rivières, à 1 h 30 de notre maison. Il a bien sûr fallu convaincre mon cher papa qu'avoir un chien était une bonne idée, malgré les allergies qui allaient de tout façon, espérons-le, s'estomper avec le temps.
Après un « oui » de sa part, nous avons appelé Jocelyn, l'éleveur. Il avait justement une portée née le 1er août avec trois mâles et deux femelles. Pour son sexe, nous savions déjà que nous voulions une femelle; c'est moins lourd une fois adulte (70-80 livres comparées à 120 pour un mâle!). Elle avait alors cinq semaines. Une semaine plus tard, nous allions la choisir.
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